Après la sécheresse et les pluies diluviennes, ce sont désormais les criquets la nouvelle plaie du Niger. Les agriculteurs nigériens doivent faire face à cette nouvelle menace.
Dans la région de Diffa à l'Est du pays les criquets ravageurs ont détruit 1400 hectares de champs de mil et de haricots. Les larves de criquets sont en pleine croissance et nul ne sait quelle sera l'ampleur de ce mal. Dans la région de Bosso, selon l'Agence France presse, ce sont les oiseaux granivores eux aussi affamés qui menacent les récoltes. Des récoltes qui sont pourtant attendues avec impatience par les Nigériens qui traversent une grave crise alimentaire, puisque selon l'ONU plus de la moitié des habitants du pays est en état d'insécurité alimentaire.
La saison des pluies censée régler une grande partie des problèmes apporte aussi son lot de catastrophes. Dans la région d'Agades, plus de cent mille têtes de bétail ont péri en raison des fortes précipitations.
Voilà de nouveaux défis pour les autorités qui estiment pourtant avoir réussi à contenir la crise alimentaire. Ces derniers mois, des centaines de milliers de tonnes de vivres ont été distribuées dans le pays grâce à la solidarité internationale. Mais la grave sécheresse de ces dernières années «a durablement affectée le monde agricole», constatait la semaine dernière le Premier ministre nigérien.
Par RFI
Dans la région de Diffa à l'Est du pays les criquets ravageurs ont détruit 1400 hectares de champs de mil et de haricots. Les larves de criquets sont en pleine croissance et nul ne sait quelle sera l'ampleur de ce mal. Dans la région de Bosso, selon l'Agence France presse, ce sont les oiseaux granivores eux aussi affamés qui menacent les récoltes. Des récoltes qui sont pourtant attendues avec impatience par les Nigériens qui traversent une grave crise alimentaire, puisque selon l'ONU plus de la moitié des habitants du pays est en état d'insécurité alimentaire.
La saison des pluies censée régler une grande partie des problèmes apporte aussi son lot de catastrophes. Dans la région d'Agades, plus de cent mille têtes de bétail ont péri en raison des fortes précipitations.
Voilà de nouveaux défis pour les autorités qui estiment pourtant avoir réussi à contenir la crise alimentaire. Ces derniers mois, des centaines de milliers de tonnes de vivres ont été distribuées dans le pays grâce à la solidarité internationale. Mais la grave sécheresse de ces dernières années «a durablement affectée le monde agricole», constatait la semaine dernière le Premier ministre nigérien.
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